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La surpopulation, ce fléau

Dernière mise à jour : 26 avr. 2021

Il est clair que la viabilité de notre écosystème nécessite une stabilisation du nombre d’êtres humains mais également une réduction de la consommation, d'un point de vue logique, pour un résultat significatif, l'un ne va pas sans l'autre et tout effort sera vain sans un combat multidirectionnel, réduisant effectivement notre impact négatif sur plusieurs fronts.


C'est mathématique et sans doute loin de rassurer les égos occidentaux soucieux de leur confort individuel qu'il serait impératif de reduire si on veut améliorer la situation critique d'un point de vu global et dont le monde moderne semble s'accommoder.


Mais lorsqu'on enferme le vivant, on l'emballe, on le souille. C'est la mort qu'on cultive et ce n'est plus un scoop, c'est une réalité dd plus en plus présente et personne à l'heure de l'information libre, ne peut le nier.


La densité exponentielle humaine est le principal facteur de la destruction de notre planète. Et c'est pourtant un paramètre qu'il est possible de reguler avec pragmatisme. On peut se demander alors pourquoi cette donnée est elle si souvent évitée et controversée dans le débats public et par les politiques. Mais cela soulève des questions auquelles nous répondront plus tard.


La surpopulation est le fléau le plus aggravant puisque c'est l'effet de masse qui accentue le poid de notre impact sur notre environnement. Pourtant c'est une donnée que la société s'empêche de prendre en compte dans ses calculs et autres réflexions majoritairement stériles jusqu'à présent. Un tas de fausses solutions sans réelle efficacité sont mises en avant sous prétexte que c'est immoral de contrôler les naissances, par exemple. Mais en revanche détruire notre écosystème pour les plaisirs individuels, futiles et matérialistes de milliards de citoyens de ce monde semble acceptable.


Pour avoir une approche claire de la réalité du terrain et develloper des solutions concrètes, je reste persuadée qu'il est nécessaire de sortir du carcan habituel, conventionnel et de cette sorte de sentimentalisme contre-productif empêchant de se poser les bonnes questions et pour y répondre en toute objectivité. Et finalement efficacité. Les résultats actuel insuffisants et l'état du monde sont la garantie la plus criante de l'échec de notre civilisation à programmer sa survie.


Surproduction et Surpopulation.


L'impact grandissant de ces deux phénomènes à l'échelle de l'humanité est devenu de plus en plus visible ces cinquante dernières années. On irait même jusqu'à dire sans exagération, qu'il s'agit de phénomènes toxiques, asphyxiant la Terre et tout ce qui s'y trouve sans distinction. Les extinctions de masse pour preuve et ceci n'est malheureusement pas de la fiction.


D’un côté, les projections démographiques modérées indiquent que le nombre d’habitants sur la Planète atteindra, presque avec certitude, 10 milliards, peut-être plus, d’ici 20 ans.


De l’autre, des estimations scientifiques de plus en plus fiables mettent en lumière la capacité maximum de la charge humaine sur terre à court terme, avec un niveau de vie de plus en plus moderne adopté massivement par ces habitants et des ressources limitées de plus en plus surexploitées.


« Notre monde est menacé par une crise dont l'ampleur semble échapper à la plupart. La puissance déchaînée de l'homme a tout changé, sauf nos modes de pensées, et nous glissons vers une catastrophe sans précédent. Une nouvelle façon de penser est essentielle si l'humanité veut vivre. Détourner cette menace est le problème le plus urgent de notre temps. » - Albert Einstein


Visiblement, un changement démographique de cette amplitude nécessitera une réorientation majeure des mentalités, des valeurs et des modes de vie. Mais surtout certaines notions à réinstaller, celles de l'effort collectif et du sacrifice individuel permettant une réduction significative de notre impact à grande échelle. Et même si il n’y a pas de garanties quant au succès d’un tel programme. Réalisons tout de même que si l’humanité échoue dans sa tentative, la nature imposera certainement une réalité encore plus dure. La crise sanitaire de 2020 n'étant qu'un échantillon de ce que le monde asphyxié par l'activité humaine nous réserve. D'une Nature decidant de se rebeller contre cette violente agression humaine et industrielle ruinant les mers, les airs et les sols. J'ai tendance à croire que les virus émergeant sont finalement les anticorps de la terre.


La biodiversité est littéralement en détresse à cause d'une civilisation toxique, invasive et sans conscience détruisant tout sur son passage. Et cette configuration juste insoutenable pour la Planète et tout les écosystèmes vivant dessus.


L'humain ne faisant preuve d'aucune auto-régulation, ceci étant pourtant l'instinct de survie le plus primordial dans le règne animal et la biosphère pour la pérennisation des espèces depuis des milliards d'années. Car même les animaux hésitent à se reproduire dans un environnement hostile ou sans avenir.

Bien que la nécessité de réduire la population puisse prêter à controverse, on peut clairement démontrer les conséquences néfastes actuelles de sa croissance mondiale galopante et de cet effet de masse. Des projections de plus en plus fiables, des capacités terrestres limitées présentes et futures et autres limites à ne pas franchir. Il faut impérativement sortir de cette mentalité exclusivement anthropocentrique qui nous mènera sans aucun doute à l'extinction. D'une masse s'agglutinant vers nulle part. Tel un pathogène contaminant tout les espaces disponibles jusqu'à effondrer tout équilibre Naturel.


ONE WAY TO NOWHERE ?


L'Autorégulation est un processus de base dans la Nature.


La Nature est l'exemple le plus parfait en terme d'efficacité sur le long terme. Réguler la population humaine devrait être une priorité et être traitée beaucoup plus sérieusement et rapidement que cela ne l’a été jusqu’à présent...


Affaire à suivre et à partager !

Army of Nature Project ⚡




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